Université, composantes et services
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Plongée dans une recherche-action sur la Mésopotamie

Crédit : Cédric Philippe

Avec le documentaire Ana ziqquratim - Sur la piste de Babel, Olivier Dantzer, réalisateur, et Audrey Bordonné, assistante de production, ont suivi pendant un an les archéologues, doctorants et étudiants qui ont construit l’exposition du même nom*, sur les ziggurats mésopotamiennes, présentée à la BNU en 2016.

Les premières notes mettent d’emblée dans l’ambiance : mystère et désert. Entre autres partis pris, Olivier Dantzer a choisi la musique de l’exposition comme fond sonore de son documentaire. « Celle-ci fait partie du projet, un archéo-musicologue anglais a reconstitué la musique jouée à l’époque » explique-t-il. Quel meilleur habillage ? L’époque en question est l’Antiquité mésopotamienne, entre le 5e et le 1er millénaire avant notre ère, entre le Tigre et l’Euphrate (Syrie et Irak actuels), époque à laquelle sont nées et se sont développées les ziggurats. Les ziggurats sont à la Mésopotamie ce que les pyramides sont à l’Egypte. Plus mystérieuses, elles sont moins connues du public car il n’en reste que des ruines : ces temples étaient érigés en brique de terre crue.

Recherche, formation et archéologie

Olivier Dantzer Audrey Bordonne post-productionL’ambition de cette exposition présentée à la Bibliothèque nationale et universitaire (BNU) au printemps 2016 était de faire découvrir l’histoire de ces tours à degrés, prémisses de la fantasmée Tour de Babel. C’est l’aboutissement d’un travail de recherche et de formation de deux ans. Et c’est ce qu’a voulu raconter Olivier Dantzer, assisté d’Audrey Bordonné, tous deux agents au département Production audiovisuelle et diffusion (PAD) de la Direction des usages du numérique (DUN). Ils ont suivi le projet de mai 2015 à l’inauguration, en avril 2016. « Ce n’était pas qu’une exposition, mais un vrai travail de recherche, qui a consisté à rassembler l’importante bibliographie et à approfondir un sujet, en l’occurrence, la naissance des ziggurats. Mon ambition était de montrer cette recherche-action, la manière dont travaillent les chercheurs, les doctorants. On se situe à l’interface entre la recherche et la société » dit-il.

Modus operandi

L’originalité du projet réside dans l’aspect concret et manuel de la recherche archéologique. Philippe Quenet, professeur en archéologie de l’Orient ancien à la Faculté des sciences historiques et commissaire de l’exposition, et Sarah Dermech, doctorante, ont par exemple souhaité recréer un mur mésopotamien en brique de terre crue, pour « restituer la splendeur et l’éclat des peintures » du temple Tell Uqair. Le film capture documentaine ana ziqquratimmontre la manière dont les étudiants et doctorants s’y sont pris en essayant de retrouver les techniques de l’époque : façonnage des briques avec de la terre, de la paille et de l’eau chez un agriculteur, essais sur les pigments lors d’un atelier avec l’artiste et enseignant à la Haute école des arts du Rhin (Hear) Jean-François Gavoty, montage des murs à l’intérieur de la BNU…
Se faisant, les chercheurs ont réellement mis la main à la pâte et compris des points qui restaient des énigmes jusqu’alors (l’affadissement des couleurs murales relaté dans les rapports de fouilles de 1940 pour ne citer qu’un exemple). Olivier Dantzer a également réalisé le court film de deux minutes diffusé en boucle dans l’exposition pour donner à voir le modus operandi de ce mur. On assiste aussi à l’atelier au cours duquel les étudiants ont minutieusement façonné les maquettes en terre crue, encadrés par l’architecte maquettiste Maurice Frey.

Aventures humaines

Le film s’est construit en même temps que le travail de recherche avançait. Le tournage s’étant étalé sur un an, des liens se sont créés entre l’équipe du film et celle de l’exposition (celle-ci a impliqué jusqu’à 200 personnes !). C’est cette aventure humaine que retiennent Olivier et Audrey : « Dans ce projet, le chemin était aussi intéressant que l’aboutissement. Ils ont réussi à faire avancer la recherche. Ce sont des personnes passionnées et très intéressantes, conciliantes, bienveillantes, qui adorent transmettre. Chacun a trouvé sa place. Nous avions envie de montrer cette passion. C’était fantastique de les voir tester, avancer et penser. Notre film relate une aventure humaine qui recrée une autre aventure humaine du passé. » Une savante mise en abyme.

Stéphanie Robert

* Soutenue par l'Initiative d'excellence, dans le cadre des Investissements d'avenir.

Visionner le documentaire (30'15'') :

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« Les étudiants sont des patients très attachants »

Aude Rochoux dirige le Service universitaire de médecine préventive et de promotion de la santé (Sumps) de l’Université de Strasbourg depuis juillet 2016. Ce service réalise 20 000 actes par an : essentiellement des consultations médicales, infirmières ou d’assistantes sociales, réservées aux étudiants. Tour d’horizon avec sa nouvelle directrice, qui n’est pas nouvelle dans la structure puisqu’elle y est médecin depuis quinze ans.

Vous êtes directrice du Sumps depuis juillet 2016, suite au départ à la retraite de Corinne Clarac. Quel a été votre parcours ?
Je ne découvre pas le Sumps de Strasbourg car j’y travaille depuis 2002. J’ai été l’adjointe de Corinne Clarac pendant près de quinze ans. Je sais donc depuis longtemps à quel point les étudiants sont des patients attachants. Ils sont des personnes en devenir et il y a beaucoup à faire pour eux.
Avant 2002, j’ai été médecin urgentiste en traumatologie pendant seize ans. C’était vraiment une belle expérience, mais c’était difficile. En venant travailler ici, j’ai fait un choix de qualité de vie.
Par ailleurs, je suis spécialisée en médecine du sport, j’ai été médecin de nombreux clubs de sport et, à ce titre, je suis tout spécialement les étudiants de la Faculté des sciences du sport.

Rappelez-nous ce qu’est le Sumps aujourd’hui ?
C’est un service de médecine préventive gratuite, réservé aux étudiants de l’Université de Strasbourg et de quelques établissements d’enseignement partenaires. Nous sommes une équipe de 23 personnes : cinq personnels administratifs, sept infirmières, cinq médecins généralistes, dont moi-même, une gynécologue (directrice du centre de planification), une conseillère conjugale, deux assistantes sociales et deux psychologues à temps partiel. Nous travaillons également en collaboration très étroite avec le Centre d’aide médico-psychologique de Strasbourg (Camus), qui est hébergé dans nos locaux.

Quelles sont vos missions ?
Une de nos missions consiste à recevoir en visite médicale obligatoire les étudiants avant la fin de leur troisième année de licence. Nous devons voir au moins une fois les étudiants dans des filières « à risque » : médecine, dentaire, pharmacie, chimie, les étudiants des établissements avec lesquels nous avons des conventions ainsi que ceux qui sont en situation de handicap. Nous établissons en particulier l’avis médical qui permettra d’aménager leurs études. Étant Centre de dépistage du virus du sida, des hépatites et des infections sexuellement transmissibles, nous proposons également des consultations anonymes et gratuites.
Mais de fait, nous accueillons aussi beaucoup d’étudiants qui viennent consulter pour des raisons aussi variées que le besoin d’un certificat pour la pratique d’un sport, des conseils aux voyageurs, la contraception ou des petites urgences (blessure, par exemple), des séances de gestion du stress, de relaxation et de réflexologie plantaire. Au total, notre service réalise 20 000 actes par an, y compris bien sûr les consultations des assistantes sociales.
Nous sommes également organisateurs ou partenaires de nombreuses actions de prévention santé : sida et infections sexuellement transmissibles, nutrition, don du sang, prévention des risques du tabac, prévention de l’alcoolisme et de la toxicomanie, risques festifs, etc.

En quinze ans, est-ce que vous percevez une évolution dans l’état de santé des étudiants ?
On remarque qu’il y a une progression du stress et de la souffrance psychologique. Nos collègues du Camus sont d’ailleurs de plus en plus sollicités, au point de ne pas pouvoir accueillir tous les étudiants demandeurs. On a identifié deux périodes de grande fragilité : le tout début des études, avec une phase d’adaptation au milieu universitaire, qui n’est pas toujours évidente ; et aussi la fin des études avec des interrogations souvent existentielles sur l’entrée dans la vie professionnelle, les débouchés des études, la recherche d’emploi, etc.
Je dirais aussi que, ces quinze dernières années, la précarité étudiante a beaucoup progressé. Nos assistantes sociales sont, elles aussi, de plus en plus sollicitées.

Quels projets avez-vous pour votre service ?
Le principal projet sur lequel nous travaillons et qui devrait aboutir dans le plus court délai possible, c’est la construction d’un Réseau de santé universitaire (Résus). Ce réseau a pour objectif la prise en charge rapide des étudiants lorsque nous dépistons un problème de santé, en s’adressant à un des médecins membres de Résus. Construit autour d’une convention avec des mutuelles et l’Assurance maladie, le réseau leur permettrait de ne pas avoir à faire l’avance des frais de santé.
Au Sumps, en effet, nous sommes un service de médecine préventive, donc on ne fait quasiment pas de soins. Mais parfois on a l’impression de laisser les étudiants au milieu du gué quand on a dépisté une maladie.
Au niveau national, il existe plusieurs Sumps qui se sont transformés en centres de soin. Nous l’envisageons également, mais cela prendra du temps et mobilisera des moyens humains et financiers. En attendant, la mise en route de Résus permettrait de pallier cette situation d’urgence.

Recueilli par Caroline Laplane

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Frédéric Fabian ou le couteau suisse de l'informatique

Au sein d’une composante de l’université, qu’est-ce que les étudiants, leurs professeurs et les personnels administratifs ont en commun ? Tous trois font appel aux services et conseils avisés de leur informaticien de composante. Cette personne est à mi-chemin entre un couteau suisse, par sa polyvalence, et un artisan, par sa capacité à apporter des solutions sur mesure aux utilisateurs de sa structure.

« Les qualités requises pour être informaticien de composante ou de laboratoire sont la polyvalence, l’écoute et la patience pour interagir avec les utilisateurs. Il faut également faire preuve de curiosité pour comprendre les multiples utilisations qui sont faites de l’outil informatique, notamment dans les laboratoires », explique Frédéric Fabian, en poste au sein de Télécom physique Strasbourg.
Avec quatre autres collègues, il gère 2 000 ordinateurs et répond aux demandes des 1 000 usagers du Pôle API, où se trouvent implantés Télécom physique Strasbourg, l’École supérieure de biotechnologie de Strasbourg (ESBS), l’UFR de mathématique et d’informatique, l’Institut de recherche de l’École de biotechnologie (Irebs) et le laboratoire ICube.

Savoir s’adapter en permanence

« Au quotidien, il faut savoir gérer tous les aspects de l’informatique : le réseau, la téléphonie, les postes utilisateurs, les serveurs, le stockage de données, le développement de services, la relation utilisateur, les commandes de matériel », précise-t-il. Pour l'informaticien de composante, le fait de travailler en équipe permet de se répartir le travail : « Nous ne sommes pas spécialisés mais nous nous répartissons les tâches en fonction des compétences et facilités de chacun. Si l’un de nous est absent, un membre de l’équipe peut prendre le relais et le travail sera fait ».
« Le déroulement d’une journée varie en fonction des demandes des utilisateurs et des tickets RT que l’on reçoit. Les étudiants viennent par exemple nous solliciter pour le support de leur projet ingénieur ou bien les collègues nous appellent pour qu’on les dépanne », affirme Frédéric Fabian, tandis que son collègue de bureau, au téléphone avec un enseignant, installe à distance les logiciels nécessaires à un TP à venir dans une salle de cours. « Le fait d’être sur place permet d’avoir un contact direct et de régler rapidement les problèmes. On peut intervenir en relais de la Direction informatique (DI) en local pour plus d’efficacité. »
Afin de mener à bien leurs missions, les informaticiens de composantes recourent souvent à un tableau de supervision : un écran sur lequel s’affichent les indicateurs critiques quant au bon fonctionnement de toute la machinerie dont ils ont la responsabilité : état des serveurs, charge des équipements réseaux, tickets RT reçus, etc. Cet écran leur permet d’avoir une vue d’ensemble, en un seul coup d’œil.

Fonctionner davantage en réseau grâce à Infoprox

fabian collèguesLes informaticiens des composantes et laboratoires sont autonomes dans de nombreux domaines, notamment l’achat du matériel, l’organisation des ressources ou bien encore le choix des logiciels en fonction des besoins de leurs utilisateurs.
Cependant, ils travaillent de plus en plus étroitement avec la DI, dans le cadre d’Infoprox, le projet de réorganisation de l’informatique de proximité. Ce projet vise à définir un mode de fonctionnement en bonne intelligence entre l’échelon local (les informaticiens dans les composantes et laboratoires) et l’échelon central (la DI). Les échanges dans les deux sens sont nombreux pour permettre davantage de coopération : la DI propose ses services et son infrastructure, tandis que les informaticiens en facultés, écoles et instituts font des retours d’expérience et contribuent à des projets structurants.
« Je suis membre du groupe de travail "Réseau Osiris 4" : je participe à la rédaction du cahier des clauses techniques pour le futur câblage des bâtiments. J’apporte mon expérience et fais remonter nos besoins spécifiques », explique Frédéric Fabian, avant d’évoquer les échanges dans l’autre sens : « La DI nous assiste pour l’installation de la téléphonie dans nos locaux. Ce sont des échanges de bons procédés ».
Davantage que les diplômes en informatique, ce qui compte pour exercer ce métier, c’est un état d’esprit : être curieux, créatif, à l’écoute et motivé. Ce sont ces qualités qui permettent de faire face à une multitude de situations et de toujours y trouver une réponse sur mesure.

Edern Appéré

Lire les précédents épisodes de la série consacrée aux métiers du numérique à l'université :

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34 nouveaux projets de recherche financés par l’Idex en 2017

La commission de la recherche a entériné, le 29 mars dernier, la sélection des projets financés par le levier Recherche de l’Idex 2017, via les appels d’offre Attractivité, Contrats doctoraux - programme doctoral international, Contrats post-doctoraux. Au total, 34 projets de haute qualité et à fort potentiel de développement, pour un montant global de 2,587 millions d'euros.

Comme l’a rappelé la vice-présidente Recherche et formation doctorale, Catherine Florentz, « le programme Attractivité vise à soutenir les projets de recherche portés par de nouveaux enseignants-chercheurs ou chercheurs nommés en 2016 ou promus en interne, ou encore la mise en place en 2016 de nouvelles équipes, thématiques ou axes de recherche induisant une restructuration au sein de l’unité de recherche ». Ainsi, quinze projets de recherche ont été retenus, sur 54 candidatures, pour un montant global de 1,025 millions d'euros, dont quatre dans le domaine des sciences de la vie et de la santé (330 000 €), cinq dans le domaine des sciences et technologies (385 000 €) et six dans le domaine du droit, économie-gestion, sciences humaines et sociales (SHS) (310 000 €). Sur le plan humain, cette campagne de financement accompagnera onze enseignants-chercheurs ou chercheurs dans leur arrivée à l’Unistra et cinq autres dans leur progression de carrière interne.
« L’appel à projets Contrats post-doctoraux s’inscrit dans une optique d’ouverture interdisciplinaire, dans un contexte international et européen. » Il doit permettre aux professeurs ou directeurs de recherche nouvellement nommés de recruter de jeunes docteurs ayant une expérience internationale. Sur 70 projets scientifiques, dix ont été retenus dont trois en droit, économie-gestion, SHS, quatre en sciences et technologies, et trois en sciences de la vie et de la santé.
De la même manière, l’appel d’offre Contrats doctoraux - programme doctoral international permettra cette année de soutenir neuf doctorants étrangers ou français ayant fait une partie de leur cursus de formation à l’étranger. Sur 63 dossiers présentés au total, deux ont été retenus en droit, économie-gestion, SHS, quatre en sciences et technologies et trois en sciences de la vie et de la santé. Les doctorants seront recrutés au niveau international.
« Cette année, nous avons observé une nette augmentation des candidatures, notamment pour les contrats post-doctoraux et l’appel à projets Attractivité. Le choix n’en a été que plus complexe, avec des enveloppes budgétaires limitées. »

Consulter les listes des projets retenus :

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Une semaine internationale consacrée aux sciences du sport

La Faculté des sciences du sport de l’université organise une semaine internationale de formation Erasmus+ (International staff week) autour du thème « Actions to foster positive relations and mutual understanding between students in the field of sport science », du 8 au 12 mai.

Organisée dans le cadre du réseau European network for scientific sport studies (EN3S) et des 30 ans du programme Erasmus+, cette semaine internationale sera l’occasion d’échanger points de vue, idées et savoir-faire sur les méthodologies empiriques pouvant être employées pour favoriser les rapports interculturels à travers les activités physiques, les sciences du sport et l’éducation.
Outre des présentations, des ateliers et des tables rondes, des activités sociales et culturelles sont également prévues, comme des visites du Conseil de l'Europe ou du centre historique de la ville. Et pour associer la théorie à la pratique, des moments de danse et de yoga seront aussi de la partie.
Cet évènement, qui accueillera 25 membres de facultés du sport de toute l’Europe, entend promouvoir la diffusion des connaissances dans l’espace européen. Il s’inscrit ainsi pleinement dans les festivités du Mois et de la Fête de l’Europe, en mai.

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Sept bourses Eiffel pour l’Université de Strasbourg

Cette année, sept étudiants étrangers de niveau master sont lauréats de la prestigieuse bourse Eiffel, attribuée par le ministère des Affaires étrangères français. Un chiffre en augmentation puisque l’an dernier, cinq étudiants avaient été sélectionnés.

Destiné à soutenir l'action de recrutement à l'international des établissements d'enseignement supérieur français pour attirer l'élite des étudiants étrangers, ce programme est particulièrement sélectif. Il permet aux lauréats de bénéficier d’une bourse d’études importante (1 181 euros par mois).
Quatre étudiants en sciences économiques et de gestion, deux étudiants en droit et un étudiant en sciences politiques ont ainsi vu leur parcours académique récompensé et encouragé.
Une reconnaissance double, puisqu’elle distingue aussi le caractère d’excellence de la formation choisie par l’étudiant à l’Université de Strasbourg.

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Chine : le programme Schwarzman Scholars est ouvert

Le programme Schwarzman Scholars finance une année de master dans l'Université de Tsinghua de Pékin, en Chine.

Cette bourse d'excellence s'adresse aux étudiants qui poursuivent leurs études dans l'une des trois disciplines suivantes : politiques publiques, économie et business et études internationales.

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Réunions institutionnelles : calendrier 2017

 Mai Juin
Conseil académique
14 h - Mardi
 / /
Congrès
14 h - Mardi
 / 27
Conseil d'administration - CA
14 h - Mardi
 9 27
Commission de la formation et de la vie universitaire - CFVU
14 h - Mardi
 16 6-20
Commission de la recherche - CR
14 h 30 - Mercredi
 / 14
Conférence des directeurs de composantes
14 h 30 - Mardi
 2 13
Conférence des directeurs des unités de recherche
10 h - Vendredi
 5 30
Réunion des responsables administratifs de composantes et des chefs de services centraux
9 h - Lundi
 15 /
Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail
14 h - Lundi
 / 12
Comité technique d'établissement
8 h 30 - Jeudi
 / 29

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Liens vers les lettres électroniques utiles