Quand elle ne s’occupe pas des résidences Arconati-Visconti et du Collègue doctoral européen (CDE) en tant que responsable du syndic, Francine Cerni pique, coud, brode. Plus que de la simple couture, le patchwork est pour elle le moyen d’exprimer une certaine sensibilité artistique. Elle remonte le fil de sa passion pour L’Actu.
Dans son bureau, à l’accueil de la résidence Arconati-Visconti, Francine Cerni a fièrement accroché au mur ses plus belles réalisations : de savants assemblages de tissus colorés du plus bel effet. Ici, une déclinaison de motifs japonais (bonsaï, éventail, Japonaises aux longs cheveux noirs et en kimono), là une composition de sapins et de rennes évoquant Noël, « que j’aurais déjà dû décrocher ». Près de l’entrée, c’est un long rectangle de tissu à dominante grise qui accueille les visiteurs, sur le thème de l’argent. « Celui-ci, il a été réalisé collectivement par notre groupe de "patch" du Spacs* ». Le patch : c’est le surnom affectueux que donnent Francine Cerni et ses amies à leur activité favorite, qui les réunit tous les quinze jours rue Goethe. « On s’y retrouve pour s’échanger idées, patrons et tissus et bénéficier des bons conseils de l’animatrice de l’atelier, Martine Molet-Bastien. Elle, c’est une artiste dans l'âme ! » N’allez pas croire que ces réunions bi-hebdomadaires cachent une activité dilettante. Tout le travail de couture, « on le fait chez nous, sur nos machines ». Comptez plusieurs dizaines d’heures pour chaque réalisation. « Rien à voir avec sa taille, mais selon le niveau de détail et des finitions », précise Francine en détricotant sa méthode pour cette pièce évoquant des sucettes (photo) : « J’y ai cousu jusqu’à sept épaisseurs de tissu, recoupé par endroit pour faire apparaître les différentes étoffes. Je ne l’ai pas fait, mais j’aurais pu aussi quilter (ajouter un tracé de fil) pour faire ressortir le matelassage. »
Quotidien coloré
Quilting, motif en vol d’oie… Qu’il s’agisse du lexique du patchwork ou de son histoire (les Amish seraient à son origine), Francine Cerni a beaucoup appris depuis qu’elle a poussé la première fois la porte de l’atelier, il y a treize ans. « Initiée par ma mère et ma grand-mère, j’ai toujours aimé coudre. » Alors dès qu’elle quitte le campus de Cronenbourg pour travailler à l’Esplanade, en 2004, elle s’inscrit au cours. Depuis, elle ne s’en lasse pas. « Le patch, c’est mon évasion. Chez moi quand je me mets au travail, je me concentre sur ma machine à coudre avec la radio en fond sonore. Ça me vide la tête, c’est très ressourçant ! » Boîte à mouchoirs en forme de maison, porte-monnaie souris, sac de plage… Francine ne compte plus les réalisations inspirées du quotidien et qui égaie celui-ci de couleurs. Surtout, chaque année, le petit groupe planche sur une « pièce majeure », inspirée de la thématique de l’exposition du Spacs. Leur fil rouge pour 2016-2017 ? L’enfance. En plus de doudous multicolores, qui seront donnés à une association une fois l’exposition terminée, chacune réalise une couverture qui, une fois repliée, sert aussi d’oreiller. La sienne, parsemée d'automobiles, de tracteurs, de pelleteuses (photo), Francine la destine à son petit-fils Arthur. A seulement un an, il aura déjà tout loisirs de faire sa sieste sur le patch « chouette » ou de jouer sur le patch « auto » !
E. C.
* Service pour la promotion de l’action socialeÀ l’Université de Strasbourg, la solidarité n’est pas un vain mot. Institutionnels, associatifs, établis de longue date ou en cours de structuration, de nombreux réseaux d’entraide tendent la main à ceux qui en ont besoin. Souvent avec pour point de départ la distribution alimentaire, mais pas seulement.
Chaque mercredi soir de l’année universitaire, ils sont des dizaines à rejoindre la file d’attente devant le centre Bernanos. Paula et ses amies viennent y chercher leur panier de fruits, légumes, produits laitiers, pain, viande, œufs… Une aide bienvenue – et équilibrée – sans laquelle « je ne parviendrais pas à manger tous les jours », reconnaît la jeune Espagnole. Bénéficiaire d’une bourse Erasmus l’an dernier, elle doit faire sans cette année, et engloutit une grande partie de son budget dans son logement.
Ici, aucune condition de ressources n’est demandée : il suffit de présenter sa carte d’étudiant pour bénéficier d’un panier à 1,5 € (une hausse de 0,5 € est intervenue récemment). Trop facile ? « On a 250 bénéficiaires en moyenne chaque mercredi et jusqu’à 1 h 30 d’attente. Y compris en hiver, dans le froid : ça limite les abus ! » analyse Grégoire Kairys, président de l’Association pour la solidarité étudiante en France (Asef), à l’origine de ces distributions. Proches du campus, ce sont les plus connues parmi les étudiants en difficulté. Leur succès ne se dément malheureusement pas, depuis 2011. « Le fait que notre trentaine de bénévoles soient des étudiants joue beaucoup. Ici, pas de choc générationnel ! »
Pour faire face à la demande, un « petit nouveau » a vu le jour voici un an et demi : Le Bonheur d’un sourire, propose des denrées non périssables type huile, semoule, pâtes, thé, café, au même endroit chaque dernier lundi du mois, contre un euro symbolique. Une offre plus spécifique, « complémentaire à celle de l’Asef, dont on retrouve certains des bénéficiaires », remarque Rahik Tahiri, vice-présidente de ce collectif constitué depuis peu en association et adossée à l’EMF (Etudiants musulmans de France).
Solidarité des personnels envers les étudiants
Ces deux associations, indépendantes de l’université, fonctionnent grâce aux stocks de la Banque alimentaire. Deux à trois fois par an, toutefois, l’Asef peut compter sur la contribution du Service pour la promotion de l’action sociale (Spacs). « Nous organisions ces collectes depuis cinq ans, rappelle Jean-Luc Brucker, responsable administratif de cette structure de l’Unistra. Une manière de témoigner de la solidarité des personnels en direction des étudiants. »
À la rentrée aussi, enseignants-chercheurs, administratifs et alumni sont invités par le Service de la vie universitaire (SVU) à donner vaisselle, livres, vêtements, petit électroménager… pour la brocante solidaire. Rebaptisée cette année « village solidaire », il se tiendra le 12 septembre, de 10 h à 16 h, rue René-Descartes (entre les deux Patios). « Les objets seront à déposer le jour même, de 7 h 30 à 14 h, directement sur le stand Unistra du village solidaire. Pour la première fois, cette année, une collecte sera assurée par le Spacs sur d’autres campus, vendredi 8 septembre », précise encore Jean-Luc Brucker, qui en profite pour glisser un appel aux musiciens pour animer le concert de rentrée. Les compagnons d’Emmaüs sont associés à cette action de solidarité du SVU, en proposant des vélos, mais aussi des équipements de ski lors de la traditionnelle vente d’hiver de février.
Bientôt une deuxième Agoraé
Les étudiants ayant du mal à boucler leurs fins de mois se sont aussi passé le mot : sur le campus, il existe un endroit où l’on peut acheter des produits à 10 % de leur prix de vente. Ouverte en 2013, l’Agoraé fait partie d’un réseau national et sa gestion quotidienne est 100 % étudiante*. « Le principe de l’épicerie sociale et solidaire est très différent d’une association caritative : il s’agit d’offrir un complément de ressources, pas un secours », explique Coraline Mahout, l’assistante sociale qui assure une permanence hebdomadaire. Les bénéficiaires, qui ont vu leurs ressources scrupuleusement étudiées, « trouvent ici des produits qu’ils ne pourraient pas s’offrir autrement : viande hallal, produits bio, épices, patates douces… et même du foie gras et du saumon à Noël ! » détaille Clarisse Darnault, vice-présidente de l’Afges en chargé de l’Agoraé. Les cas les plus difficiles, avec des reste-à-vivre négatifs, sont dirigés vers les assistants sociaux du Crous. Au-delà de l’aide alimentaire, les bénévoles cherchent ici à créer du lien, « avec un four micro-ondes mis à disposition et des animations régulières (jeux de société, ateliers DIY, anglais…) ». Coraline Mahout nuance toutefois : « Les étudiants sont moins fragiles d’un point de vue social, beaucoup de communautés d’entraide existent, en particulier parmi les étrangers ».
Victime de son succès (168 bénéficiaires au premier semestre 2016, en forte hausse) l’Agoraé va ouvrir un deuxième local à la prochaine rentrée de septembre, à la Gallia. Un bonne nouvelle pour la solidarité, pas pour la précarité.
Elsa Collobert
* À travers l’Association fédérative générale des étudiants de Strasbourg (Afges)Une main tendue pour les personnels aussi
Accueillir, écouter, informer, orienter : c’est la mission d’Angèle Peter, l’assistante sociale des personnels. « Un service à moi toute seule », sourit-elle. Elle accompagne les agents dans leurs difficultés personnelles et professionnelles, car souvent, celles-ci se cumulent : maladie, divorce, conditions de travail difficiles… Davantage de personnels Biatss que d’enseignants sont suivis par le Service social des personnels. Dans sa mission – « trouver ensemble une solution pour que le travail ne soit pas impacté » –, Angèle Peter travaille en lien étroit avec le Service de santé au travail (SST), la Direction des ressources humaines (DRH), le Spacs… Demande de secours exceptionnel ou de prêt social, étude d’un retour au travail après une longue maladie, accès aux droits… L’assistante sociale répond à la demande de l’agent ou d’un membre de son entourage (supérieur, collègue). Et toujours dans le respect « du secret professionnel ».
Les lauréats des « Prix scientifiques 2017 : Les espoirs de l'Université de Strasbourg » ont été validés par la commission de la recherche du 29 mars dernier. Ces lauréats seront à l’honneur en septembre 2017.
Dans le cadre de la mise en œuvre du levier Gestion des talents de l'Initiative d'excellence (Idex), les Prix espoirs de l'Université de Strasbourg ont été instaurés en 2014. Ils récompensent la qualité du travail et du parcours de jeunes chercheurs formant le potentiel scientifique du site de Strasbourg. Chaque chercheur reçoit un prix doté d'un montant de 10 000 €, au bénéfice de ses travaux de recherche.
Cette année encore, dix lauréats, six hommes et quatre femmes ont été sélectionnés pour l’originalité de leurs travaux et le dynamisme dans la mise en œuvre de leurs recherches, dont les développements s’annoncent prometteurs.
Adrien Schmitt est décédé le 13 avril, dans sa 79e année. Il avait été président de l’Université Louis-Pasteur de 1992 à 1997.
Tout en situant son action dans le prolongement de celle de son prédécesseur, Gilbert Laustriat, Adrien Schmitt s’est attelé à de grands chantiers touchant la recherche (passage de 27 centres de recherche à 17 fédérations, clarification des relations entre les unités de recherche et les composantes, amélioration des partenariats avec les organismes de recherche, avec l’hôpital, etc.) ou l’aménagement du campus qu’il a initié en lien avec les collectivités territoriales.
Il a également soutenu des restructurations de composantes (fusion de deux écoles pour créer l’ECPM, par exemple) ou la création de nouvelles formations : ainsi, le lancement d’un département d’IUT à Haguenau, qui a abouti à un IUT de plein exercice.
Il a aussi initié la création d’un Service de communication scientifique et technique, qui s’appelle aujourd’hui le Jardin des sciences.
Sur le plan national, Adrien Schmitt a été un membre actif de la Conférence des présidents d’universités (CPU), membre du conseil d'administration et président de la commission recherche. Il a été à l’origine de la création du bureau permanent de la CPU à Bruxelles, et a été très impliqué dans le processus de Bologne, qui a abouti à la réforme LMD (licence-master-doctorat).
La communauté universitaire de Strasbourg s’associe au chagrin de ses proches. Un hommage académique lui sera rendu dans les prochains mois.
Désireux de favoriser l’insertion professionnelle de ses membres, le Service relations Alumni a décidé de renouveler la prestation de coaching en 2017. Réservée aux diplômés et anciens personnels de l’Université de Strasbourg, cette prestation balaye le thème large de l’« Accompagnement individuel emploi – reconversion professionnelle et entreprenariat ».
Le but est de proposer un accompagnement individuel à l'emploi de deux à cinq heures par des professionnels.
L'accompagnement peut se faire en entretien face à face, par téléphone ou Skype, en français et en anglais.
Cet accompagnement est destiné aux personnes en difficulté dans leur recherche d’emploi, en réflexion quant à une reconversion professionnelle et/ou en réflexion quant à une création d'entreprise.
Dans le cadre du plan de formation des personnels, différentes sessions de préparation aux concours de la Fonction publique sont proposées.
L'une d'entre elles, la préparation aux concours A à temps réduit, dispensée par l'Institut de préparation à l'administration générale (Ipag), concerne les agents titulaires ou non, qui souhaitent se préparer aux différentes épreuves d'admissibilité et d'admission des concours administratifs externes ou internes de catégorie A. La formation se déroule chaque jeudi, de 9 h à 18 h, de la mi-septembre à fin mars.
Les candidatures à cette formation seront ouvertes à compter du 9 mai 2017.
Ce concours est destiné aux alumni de l’Unistra (diplômés, doctorants, personnels et anciens personnels de l’Université de Strasbourg) et au grand public.
Les projets multimédia sont à faire parvenir au Service relations Alumni jusqu'au lundi 8 mai (23 h 59). Ils seront sélectionnés par un jury entre le 9 et le 31 mai 2017, puis soumis au vote des internautes (du 1er au 15 juin), pour une remise des prix fin juin.
La circulaire relative à l'avancement de grade par tableau d'avancement des personnels de recherche et de formation titulaires a été transmise dans les différentes structures de l'établissement.
Sont concernés les agents promouvables aux grades suivants :
- ingénieur de recherche de 1re classe ;
- ingénieur d'études hors classe ;
- ingénieur d'études de 1re classe ;
- technicien de classe exceptionnelle ;
- technicien de classe supérieure ;
- adjoint technique de recherche et de formation principal de 1re classe ;
- adjoint technique de recherche et de formation principal de 2e classe ;
- adjoint technique de recherche et de formation de 1re classe.
La Commission paritaire d’établissement (CPE), compétente en matière d'avancement des personnels, sera consultée pour ces avancements.
Dans l'hypothèse où vous renoncez à faire acte de candidature et afin d'éviter tout retard dans le traitement de votre dossier, il convient de remplir l'annexe I (accusé de réception indiquant que vous ne souhaitez pas déposer de dossier) et la retourner par courrier ou courriel à Delphine Schaffner et/ou Elisabeth Scholz dans les meilleurs délais.
« Écosystème de la recherche », « Concevoir sa présentation visuelle et graphique sur écran »... Le programme des stages proposés par l'Unité régionale de formation à l'information scientifique et technique (Urfist) jusqu'au 21 juin 2017 est en ligne.
Cette liste est en cours de mise à jour. Ces stages sont gratuits pour les personnels relevant du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et pour les doctorants.
Comme chaque année dans la deuxième quinzaine du mois de juin, des stages intensifs de 30 h en anglais et en allemand sont proposés par l'Unistra dans le cadre de l'offre de formation continue des personnels.
Vous cherchez à améliorer votre capacité à comprendre et communiquer en anglais ou en allemand, au niveau professionnel ou personnel ? L'université vous propose une formation assurée par une équipe d'enseignants, avec suivi en Centre de ressources de langues.
Cette formation permet à chaque participant de travailler selon son niveau, d'accéder au site de ressources, et de prendre part régulièrement aux ateliers de conversation.
Le stage intensif d'anglais se déroule du lundi 19 au vendredi 23 juin et du lundi 26 au vendredi 30 juin, au Centre de ressources de langues (CRL) du Pôle européen de gestion et d'économie (Pege) ; celui d’allemand se déroule du lundi 19 au vendredi 23 juin, au CRL de l’Institut Le Bel.
Les inscriptions seront ouvertes lors de la diffusion de l'offre mensuelle de juin. Il convient toutefois d'effectuer une pré-inscription en remplissant ce formulaire.
Les enseignants du second degré affectés dans un établissement d’enseignement supérieur peuvent demander, lorsqu’ils sont inscrits en vue de la préparation d’un doctorat, et, dans certaines conditions, après l’obtention du diplôme, à bénéficier d’un aménagement de leur service d’enseignement.
Le dispositif détaillé de la campagne 2017 est disponible en cliquant ici. Le délai de transmission du dossier à la Direction des ressources humaines (DRH) est fixé au 2 mai 2017.
La campagne de Validation des acquis de l'expérience (VAE) pour le premier semestre 2017 est en cours.
Les dossiers de demande de financement du coût de l'accompagnement VAE sont à déposer au plus tard le 15 juin 2017 auprès du Bureau de la formation continue (la fiche de financement est jointe à la circulaire d'information).
Dans le cadre d'un projet global qui a notamment vu une enseignante missionnée en Terre Adélie, le Jardin des sciences et la Maison pour la science en Alsace s'associent pour combiner volet pédagogique et sensibilisation du grand public.
C'est dans ce cadre qu'est proposé un cycle de conférences déclinées sur la thématique « Embarquez en Antarctique », du 2 au 23 mai.
En 1959, douze États, dont la France, désireux de poursuivre une recherche de qualité sur un terrain d’études exceptionnel, signent le Traité sur l’Antarctique, gelant ainsi les revendications territoriales au sud du 60e parallèle sud. Un peu moins de 40 ans plus tard, par le Protocole de Madrid, les États s’engagent à assurer la protection globale de l’environnement du continent et des écosystèmes dépendants et associés. L’Antarctique est ainsi désigné « réserve naturelle consacrée à la paix et à la science » et reconnu en tant que tel par cinquante États.
Le 2 mai, Yves Frenot, directeur de l’Institut polaire français Paul-Emile-Victor, reviendra sur cette « gouvernance unique de l’Antarctique, une utopie devenue réalité », à l'occasion de la première conférence du cycle.
Le cluster de recherche en durabilité du Rhin supérieur, lancé officiellement en novembre 2016, organise son premier cycle de conférences grand public (lecture series). Plusieurs événements auront lieu entre mai et juin 2017 dans les différentes institutions partenaires à Bâle, Strasbourg, Mulhouse, Freiburg, Karlsruhe, Landau.
Le 16 mai, les conférences strasbourgeoises porteront sur la thématique « Environnement, pollution et enjeux sociétaux ». « La communauté universitaire et surtout les citoyens strasbourgeois ou frontaliers francophones sont invités à venir écouter plusieurs chercheurs alsaciens et débattre avec eux sur des sujets concrets qui les concernent », explique Karine Philippe, l’une des cinq « enablers » recrutés sur le projet. Trois axes particulièrement étudiés à Strasbourg seront abordés : l'évaluation des effets écotoxicologiques des micropolluants, l'ingénierie écologique au service du traitement des eaux pluviales et le rôle des données scientifiques dans les contentieux juridiques en matière de pollutions.
Ces thématiques reflètent la diversité des projets de recherche interdisciplinaires développés dans le cadre du cluster. Celui-ci est un projet trinational soutenu par les fonds européens Interreg, rassemblant plus d'une centaine de chercheuses et chercheurs issus des universités membres d'Eucor - Le Campus européen, et de plusieurs partenaires associés. Ces conférences contribueront à la diffusion de connaissances dans le domaine de la « gouvernance de la croissance durable ».
5 km, 10 km, semi-marathon, marche ou balade roller : le Service des sports de l’université vous propose de participer à ces épreuves des Courses de Strasbourg sous ses couleurs, les 13 et 14 mai. Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au mardi 3 mai, midi, pour les groupes.
Pour la sixième année consécutive, le Service des sports de l'Université de Strasbourg vous propose de courir, marcher sous les couleurs de l'Unistra lors des prochaines courses de Strasbourg, qui auront lieu cette année les 13 et 14 mai 2017. Les bulletins d'inscription sont à retirer et déposer à l'accueil du Centre sportif universitaire (CSU), ainsi que le certificat médical et le règlement (par chèque à l'ordre de l'Association sportive Unistra).
Les inscriptions sont ouvertes à tous, que vous soyez à l'université ou pas, le but étant de réunir le plus de monde possible. N'hésitez pas à inscrire amis, famille... Vous pouvez aussi former des équipes par service, laboratoire...
Le Service des sports offre un tee-shirt aux 150 premiers inscrits, maillots qui seront portés le jour de la course.
Envoyez votre info à medias@unistra.fr avant le mardi 16 mai midi pour une parution le vendredi 19 mai 2017. Consultez les dates des prochains numéros.