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On a marché pour les sciences…

Michel Deneken

Samedi 22 avril, avec le soutien de l’Université de Strasbourg, enseignants, chercheurs, étudiants, citoyens, ont marché pour les sciences. Synchronisée dans plusieurs villes de France, cette Marche pour les sciences a rassemblé tous ceux qui estiment que, dans notre démocratie, la reconnaissance de la démarche scientifique fondée sur la collecte, la vérification et l’analyse rationnelle de faits, et la garantie de son indépendance vis-à-vis quelque pouvoir que ce soit, constituent des enjeux essentiels.
Cette manifestation a eu lieu la veille du premier tour de la présidentielle, à un moment privilégié pour redire que sciences et démocratie forment un couple inséparable. Les marcheurs strasbourgeois étaient de tous horizons, d’opinions politiques et philosophiques différentes. C’est que le pluralisme et l’expression libre des opinions font partie de l’exigence scientifique ! Grâce aux talents de nos chercheurs, universitaires ou membres des organismes tels que le CNRS ou l’Inserm, l’Unistra est un haut-lieu de la recherche reconnu sur le plan international.
La liberté et l’indépendance de la recherche sont au fondement de cette excellence. La connaissance est par définition critique et ouverte et se joue de toutes les frontières. Le débat et la contradiction font partie intégrante de l’acte de comprendre. En initiant nos étudiant.e.s à la recherche, nous les introduisons à une démarche de liberté et de responsabilité critique. C’est pour nous plus qu’une mission : un engagement.

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Opération campus : l’université poursuit sa mue

En 2017 encore, l’Opération campus offrira son lot de transformations architecturales. Aménagement, embellissement et développement des campus de l’Université de Strasbourg sont les maîtres-mots de ce programme pluriannuel, initié en 2009 par l’État, faisant la part belle à la végétalisation et à la rénovation énergétique. Zoom sur trois projets emblématiques.

  • Davantage qu’une extension pour l’Institut de science et d’ingénierie supramoléculaires (Isis)

isis arriereEntamés début février, les travaux à l’arrière de l’Isis visent à construire une extension, directement reliée au bâtiment principal. Plus qu’un simple prolongement du prestigieux bâtiment, cette construction poursuit en fait un triple objectif. Auparavant disséminés aux quatre coins du campus, les serveurs informatiques y seront regroupés dans un data-center, pour une sécurité accrue répondant aux normes internationales. Les calculateurs associés, largement utilisés aussi bien en sciences expérimentales qu’en sciences humaines (statistique, hébergement de bases de données), répondent à la demande croissante de protection des données de la recherche. La réflexion énergétique n’est pas absente du projet : le chauffage du bâtiment et de certains de ses voisins sera en partie alimenté par l’énergie dégagée par les serveurs.
Les équipes des fondations – Fondation Université de Strasbourg, Fondation pour la recherche en chimie – seront rassemblées dans des bureaux qui leur seront dédiés dans les 4 600 m2 du bâtiment. De même que les équipes junior et senior d’Isis, qui pourront y développer de façon optimale leurs projets scientifiques.
Dès la découverte des premiers vestiges, une équipe de l’École et observatoire des sciences de la Terre (Eost), a été sollicitée pour sonder le sol avant la phase de réalisation des fondations et pendant la phase de terrassement. Cela a permis d’aider les équipes de chantier à localiser l’ensemble des murs d’un ancien bastion, cependant sans intérêt archéologique.
La livraison du chantier, qui modifie de fait les circulations aux alentours du bâtiment, est prévue pour la fin de l’année 2018.

  • Avant le Studium, la déconstruction de la bibliothèque universitaire Blaise-Pascal (BUBP)

démolition bibliothèque universitaire blaise pascalMi-mars, les équipes du Service commun de la documentation (SCD) se sont installées dans le bâtiment Schoepflin (rue de la Fonderie) et le Service prévention, sécurité et environnement (SPSE) a déménagé pour l'Institut Le Bel. L’entreprise a ainsi pu procéder à l’enlèvement du mobilier et des éléments de second œuvre (portes, cloisons non porteuses, etc.).
Les équipes ont eu accès aux éléments de la structure, qui a fait apparaître de nouveaux éléments amiantés (colles, pare-vapeur, plaques de fibrociments par exemple). Les procédures de sécurité et la réglementation imposant des délais incompressibles, le désamiantage devrait durer jusqu’à la fin du mois d’août. Viendra ensuite la démolition proprement dite, pour laquelle le maximum de précautions a été demandé aux entreprises (gestion des flux de camions vers le boulevard de la Victoire, système d’arrosage en cas de poussière, système destructifs peu sonores, etc.). Des procédures spécifiques ont été mises en place entre le chantier et les laboratoires voisins en charge de machines hypersensibles aux basses fréquences. Il en va de même pour les services et personnels qui travaillent à l’Institut Le Bel et au Crous : toutes les mesures sont prises pour limiter les nuisances. La Direction du patrimoine immobilier (DPI) avertit toutefois : « C’est un chantier lourd et complexe, dans un espace très contraint. Même si les nuisances sont limitées au maximum, elles existeront, et nous aurons des réunions régulières avec les services concernés pour les informer de l’avancement du chantier. Pour tous les autres usagers, il conviendra de respecter le périmètre de sécurité qui sera adapté aux différentes phases et maintenu jusqu’à la fin du chantier, à l’automne 2019 ».

  • Le Planétarium, porte d’entrée vers les étoiles et la culture scientifique

planetarium boulevard de la victoireCe projet est lui aussi « à tiroirs », puisqu’il conjugue construction du Planétarium, de l’accueil du Jardin des sciences et aménagement d’un jardin, sur le site clôt entre les instituts de zoologie et de minéralogie. « Le Planétarium actuel, qui date de 1982, est limité pour accueillir le public, explique sa responsable, Milène Wendling. Situé à l’étage, il n’est pas accessible aux personnes à mobilité réduite et devient très vétuste. » En passant d’une capacité de 62 à 140 sièges, et en doublant la taille de l’écran (15 m), « le futur Planétarium remplira d’autant mieux sa mission de porte d’entrée vers les étoiles pour le grand public – touristes, familles, écoliers ».
Le sentiment d’immersion sous la voute céleste et de navigation entre les galaxies sera assuré par l’installation d’un matériel de projection audiovisuelle de pointe. Une contrainte technologique à laquelle se plie Frenak et Jullien Architectes, le cabinet retenu pour le projet. Le bâtiment, fractionné en deux parties, conique et cylindrique, évoque la géométrie et les instruments de mesure de l'astronomie, tel l'astrolabe, de forme non pas sphérique mais conique. Les visiteurs accéderont au Planétarium à travers une première structure. Point d’entrée des actions culturelles et éducatives du Jardin des sciences et des structures muséales associées (musées zoologique, de minéralogie, de sismologie), on pourra y réserver sa place pour le Planétarium. Mais aussi profiter de la boutique et de la cafétéria adjacentes.
« Notre mission d’ouverture à un large public se double de la création de liens avec les équipes de recherche de l’Unistra, poursuit Milène Wendling. La salle du Planétarium pourra servir de simulateur pour des bases de données, ou de salle expérimentale à la croisée des arts et de la science. À nous d’imaginer ces connexions ! » La vocation future des locaux libérés au sein de l’Observatoire fait encore l’objet d’études.
Pensé comme un véritable lien entre campus Esplanade et historique, l’aménagement du site du 12 rue de l’Université fait la part belle à la création paysagère. Références végétales aux vestiges des fortifications Vauban retrouvés lors des fouilles archéologiques et aux constellations permettent de renouer avec la vocation première de cet espace, déjà jardin à la fin du 19e siècle.
Il fallait bien cet écrin pour le seul Planétarium rattaché à une université en France !

Quelques chiffres

Budget de l’extension d’Isis : 17 millions d’euros (État 15 M€, Région Grand Est 1 M€, Eurométropole de Strasbourg 1 M€)
2020 : année de livraison estimée du Planétarium
Budget du Planétarium : 7,83 millions d’euros (Etat, Eurométropole, Université de Strasbourg, Jardin des sciences)

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Chantiers et projets de l'Opération campus en images

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Clémentine Bidaud, une doctorante rayonnante !

Clémentine Bidaud

Mise en lumière par son succès lors du concours régional Ma thèse en 180 secondes, Clémentine Bidaud est une jeune doctorante pleine d’enthousiasme. Entre recherche et vulgarisation, son cœur balance. Portrait.

Le concours, Clémentine Bidaud en entend parler par hasard, il y a environ deux ans, au détour d’une chronique de La Tête au Carré, l’émission scientifique de France Inter. D’emblée séduite par le principe, elle se promet d’y participer alors même qu’elle n’a pas encore terminé ses études d’ingénieur à l’École européenne de chimie, polymères et matériaux (ECPM) de Strasbourg. Et surtout, avant même de débuter ce qui est l’objet principal du concours : une thèse !
Qu’à cela ne tienne, Clémentine sait depuis longtemps qu’elle veut faire de la science. Alors, la réalisation d’un doctorat s’est imposée comme une évidence pour atteindre son but, son rêve : devenir chercheuse. « Ça fait longtemps que je traîne ça », confie-t-elle en se remémorant le jour où elle a visité un laboratoire du CNRS à Toulouse avec sa classe de collège de Loudun. Captivée par la passion du chercheur qui les reçoit, elle se dit : « C’est ça que je veux faire ! » Et ce n’est pas le fait de se méprendre entre « atome » et « molécule » en posant une question qui l’en dissuadera. Bien au contraire, la chimie deviendra sa matière de prédilection au lycée et le fil rouge de son parcours.

Aux portes de la recherche

Aujourd’hui, la jeune doctorante de 25 ans a concrétisé sa promesse avec brio en remportant la finale régionale de Ma thèse en 180 secondes. Elle a convaincu le jury alsacien, avec les personnages de Léon et Manon, personnifications de deux photons amoureux. Derrière cette métaphore romantique se cache un travail de thèse lumineux. « J’utilise une lumière ultraviolette pour structurer un matériau qui sera ensuite employé pour guider la lumière. C’est assez élégant, je trouve ! » (lire encadré ci-dessous)
Cette recherche à l’interface de différentes disciplines collent bien avec la personnalité enthousiaste de Clémentine, qui aime autant passer du temps en laboratoire que partager son savoir avec le plus grand nombre. « La recherche est belle, mais si les chercheurs ne communiquent pas, alors elle reste cloîtrée derrière les murs et c’est dommage. » Voilà pourquoi elle s’imagine devenir enseignant-chercheur. Une manière de concilier son goût du partage avec la source inépuisable de découvertes que procure la recherche.

Finale en vue

Cet été, Clémentine aura à nouveau l’occasion de prouver son talent de vulgarisatrice lors de la demi-finale et peut-être même la finale nationale de Ma thèse en 180 secondes, qui auront lieu les 13 et 14 juin, à Paris.
Nul doute qu’elle sera tout aussi à l’aise à l’oral que lors de l’étape régionale. Elle pratique le théâtre depuis plus de 10 ans ! Mais elle ne se met pas la pression pour autant. « Je participe avant tout pour le plaisir. Pour moi, l’intérêt de ce concours, c’est surtout de transmettre notre passion pour la recherche et de montrer qu’il existe plein de choses géniales et diverses en science. »
Malgré sa sérénité, elle ne cache pas être très motivée pour aller au bout de l’aventure, le maître de cérémonie n’étant autre que Mathieu Vidard en personne, l’animateur de La Tête au Carré, son émission fétiche. « C’est un peu mon héros, je l’écoute tous le temps ! Je serai ravie de pouvoir le rencontrer et lui serrer la main. » On croise les doigts pour elle.

Ronan Rousseau

Une thèse pour un matériau du futur

Si structurer un matériau par la lumière est déjà largement connu, l’approche que Clémentine développe à l’Institut de science des matériaux de Mulhouse (IS2M) avec Dominique Berling et Emilie Gamet, ses directeurs de thèse, n’en reste pas moins originale*. « On allie notre savoir-faire issu de la chimie sol-gel – une chimie un peu spéciale – à la photochimie. » Le matériau, initialement liquide et contenant des nanoparticules, est déposé sous forme d’un film mince puis exposé à des UV profonds. Cet éclairage laser induit la formation contrôlée de liaisons entre molécules sous forme d’un réseau de lignes qui, associé à la présence de nanoparticules, dote le matériau de propriétés optiques et magnétiques particulières.
Avec cette approche alternative, l’objectif est de développer un matériau à la fois fonctionnel et innovant pour miniaturiser des dispositifs tels que des isolateurs optiques, des composants utilisés pour laisser passer les photons dans un seul sens et ainsi protéger les sources lumineuses de réflexions parasites. De tels dispositifs optiques existent déjà mais leur fabrication est complexe et ils sont encore trop encombrants. « À terme, notre matériau pourrait par exemple être intégré dans les lidars, des sortes de radars qui fonctionnent avec de la lumière plutôt que des ondes radio, pronostique-t-elle. Il pourrait aussi être utilisé dans des nouveaux instruments de mesure destinés à l’aéronautique ou aux véhicules autonomes. »

* En collaboration avec le laboratoire Hubert-Curien de Saint-Etienne et le laboratoire de Physicochimie des électrolytes et nanosystèmes interfaciaux de Paris.

     

    • L'intégralité de la finale Alsace de Ma thèse en 180 secondes

     

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En images : Clémentine Bidaud, une doctorante rayonnante !

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Des nouvelles de la consultation des lecteurs de L’Actu

Les statistiques illustrant les réponses à la question "À la une, vous cliquez en premier sur..." (plusieurs réponses possibles).

Vous avez été nombreux à répondre à l’enquête menée en début d'année visant à sonder votre appréciation de L’Actu. Toute l’équipe vous remercie pour votre implication, qui l’aidera à améliorer le contenu et la présentation de votre journal interne.

Quelques enseignements parmi d’autres : en extrapolant les catégories de répondants aux lecteurs, on se rend compte que ceux-ci sont en majorité des personnels administratifs (46,3 %). Et que L’Actu est considéré comme un outil d’information, mais pas seulement… De façon plus anecdotique, l’enquête nous apprend que le journal interne de l'Université de Strasbourg est lu jusqu’à Londres (un lecteur de l’Imperial College) et en Algérie (un lecteur à la Faculté de médecine de Constantine).
Sans attendre la refonte majeure de la fin d’année 2017/début 2018, qui comprendra notamment l’adaptation de la maquette au nouveau langage visuel et le design adaptatif, quelques nouveautés ont d’ores et déjà été intégrées : des encadrés de couleur, permettant des focus sur des sujets précis, des légendes photo au survol…
Parmi les pistes d’amélioration identifiées, une valorisation accrue des illustrations à la une et l’intégration d’un moteur de recherche, côté forme. Côté fonds, introduire davantage de visibilité des sites existants (recherche.unistra.fr, sites des composantes), repenser la rubrique « Dans nos autres médias » ou encore donner davantage de place à l’humain, à travers portraits et articles traitant des coulisses de l’université, relayer des prix scientifiques autres que le Nobel, mais aussi remettre en avant les grands projets de l’université.
Le passage à L’Actu nouvelle génération est en marche !

Quelques résultats en chiffres

689 répondants, soit un taux de réponse de 23 %

Le journal de l’ensemble de la communauté universitaire

Un outil de travail : 52 % retournent vers les anciens numéros

Répartition des répondants au sondage par catégorie

 

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Langage visuel : quoi de neuf sur la boîte à outils ?

Boîte à outils langagevisuel.unistra.fr

Cartes de visite, encadrés, modèles bureautique... Le point sur les nouveautés qui ont fait leur apparition dans la boîte à outils.

Cartes de visite

Le modèle disponible à présent contient des phrases génériques et propose une variante de mise en page des coordonnées sur deux ou trois colonnes. Les graphistes y trouveront une explication des principes de construction et les fichiers téléchargeables. Il en est de même pour les cartes de correspondance.
En parallèle, le département Imprimerie de la Direction des affaires logistiques intérieures développe un générateur de cartes de visites qui permettra d’en automatiser la commande à partir d’un simple formulaire en ligne. Afin de pouvoir générer des cartes propres à votre entité, pensez à nous communiquer les contenus textuels ou visuels dont vous souhaitez enrichir votre signature minimale !

Encadrés

Si vous utilisez la police Unistra encadré, pensez à la commande « _ » qui permet de placer des espaces à l’intérieur des encadrés sans interrompre le filet du cadre souhaité : on ouvre et ferme le cadre par « ( »  et « ) ».
Si vous avez tenté de créer des encadrés avec des logiciels de publication assistée par ordinateur, vous avez peut-être rencontré des difficultés d’ajustement des cadres au moment de la visualisation. Des modèles sont disponibles et faciliteront ces ajustements en vous permettant de les affiner.

Modèles bureautique

Pour le moment, des modèles transitoires de lettres, de signalétique, de diaporama de présentation sont disponibles sur la boîte à outils. Un développeur spécialisé, expert en Microsoft, intègre actuellement ces modèles dans Word. À partir d’un panel des documents identifiés, trois grandes tendances ont été dégagées pour les modèles de documents : courrier (en-tête de lettre) ; ordre du jour/compte-rendu (document court) ; dossier/rapport (document plus conséquent avec différents niveaux de titres et génération de sommaire).
Seront également intégrés plusieurs modèles d’affichettes événementielles, des chevalets, des badges et autres plaques de portes. Les modèles Word ont pour but d’harmoniser les usages tout en les facilitant.

  • Beaucoup de réponses aux questions que vous vous posez sont déjà dans la boîte à outils

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Passez la Nuit au musée samedi 20 mai !

Pour la 13e année, de nombreux musées ouvriront gratuitement leurs portes, en France et en Europe jusqu'à minuit environ. À Strasbourg, plusieurs structures liées à l'université jouent les prolongations nocturnes.

Sur les campus Esplanade et historique, l'herbier de l'Université de Strasbourg, l'Observatoire astronomique et les musées zoologique, de minéralogie, anatomique, de sismologie et Adolf-Michaelis se dévoilent sous un jour nouveau.
Rendez-vous à la tombée de la nuit, samedi 20 mars !